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Chapitre VII | ![]() |
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Chapitre
VIII suite |
1 - La transposition : les origines de l'alphabetLa transposition du cryptogramme nous permet de déterminer quelle source a inspirée Olivier Levasseur lors de l'élaboration du cryptogramme. Les sciences de la cryptographie à l'époque ne sont pas encore très développées et leur apprentissage doit probablement être transmis par les marins qui partent d'Europe en direction des Indes de l'ouest (Indes Occidentales) ou bien des indes Orientales. Au contact des expéditions scientifiques telle celles de Cook ou bien celles menées plus tard par Laperouse de 1781 à 1789 sur La Boussole et L'Astrolabe) les populations du monde entier échangent leur savoir scientifique et culturel. L'utilisation antérieure à 1730 de la technique de la transposition mono-alphabétique (un signe = une lettre sans changement) sont retrouvées dans des ouvrages variés tel que :
![]() reproduit dans le traité de Blaise de Vigenère, Traicté des chiffres, ou secretes manieres d'escrire (Paris, 1586, f. 275 v). Toutes les lettres de l'alphabet ne sont pas utilisées. sources :
http://www.chass.utoronto.ca/~wulfric/rentexte/vigenere/ http://fr.wikipedia.org/wiki/Chiffre_des_Francs-ma%C3%A7ons ![]() sources :
![]() sources :
http://lwh.free.fr/pages/algo/crypto/templier.htm http://www.apprendre-en-ligne.net/crypto/subst/pigpen.html http://templis.free.fr/crypthog.htm ![]() sources : http://educ.queensu.ca/%7Efmc/may2004/diagram.html ![]() sources :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chiffre_des_Francs-ma%C3%A7ons, http://www.franc-maconnerie.org/menu-droite/travaux-fm/alphabet-fm.htm http://www.simonsingh.net/The_Black_Chamber/pigpenWithMenu.html http://www.renne-le-chateau.com/fran_mac/fran_mac.html ![]() sources :
http://en.wikipedia.org/wiki/Pigpen_cipher http://www.exploratorium.edu/ronh/secret/secret.html
2-La
transposition du cryptogramme grâce à l'alphabet
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1) APREJMEZUNEPAIREDEPIJONTIRESKET Légende : |
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3 - Les thèmes possible du texte : définition du Tamarinier
=>
"La pulpe
acidulée et sucrée est appelée Tamarin, riche en
vitamines B
et C, minéraux (calcium, fer, phosphore) mais aussi en acide
tartrique
qui en cas d'excès peut avoir des effets laxatifs, fraîche
elle est
consommée tel que avec ou sans sucre ou avec des mets
salés. Elle entre
dans la confection de confiseries et sucreries, de boissons
rafraîchissantes, de sirops et glaces et aussi de punchs."
(http://nature.jardin.free.fr)
=>
exemple utilisé comme épice : http://www.marmiton.org
B)
Le Tamarinier ou Tamarin pour ses
propriétés médicinales :
3)
FILTTINSHIENTECUPRENEZUNECULLIERE
4)
DEMIELLEEFOVTREFOUSENFAITESUNEONGAT
5)
METTEZSURKEPATAIEDELAPERTOTITOUSN
6)
_VOULEZOLVSPRENEZ2LETCASSESURLECH (fruits/gousses
cassées sur le
chemin)
7)
EMINILFAUTQOEUTTOITANOITIECOUUE
=>
Laxatif en onguent, cicatrisation...
C)
Le Tamarinier comme parfum pour
séduire :
8)
POVRENPECGERUNEFEMMEDHRENGTVOUSNAVE
9)
QUAVOUSSERERLADOBAUCGEAETPOURVE.
10)
NGRAAIETPOREPINGLEOUEIUILETURLOR
=> essences de fleur de tamarinier
D)
Le Tamarinier a été importé des Indes par les
Turcs et les Arabes au XVI-XVII siècle :
11)
EILTNOURLAIREPITERUNCHIENTURQUN
12)
LENENDELAMERDEBIENTECTEETSURRU
13)
NVOVLENQUILNISEIUDFKUUNEFEMMRQ
E)
Le Tamarinier a des propriétés relaxantes souvent
employé en sirop ou en boisson :
14)
IVEUTSEFAIREDUNHMETSEDETE?DRE
15)
DANSDUUI●_OOUQNDORMIRUNHOMMR
16)
ESSCFVMM/PLFAUTNRENDREUDLQ
17)
UUNDIFFURQECIEEFURTETLESL
Distribution-EcologieProbablement originaire de Madagascar et d'Afrique orientale, la Tamarinier est actuellement répandu dans toute l'Afrique tropicale semi-aride, aux Indes et dans de nombreux pays d'Asie dusud-est. Il prospère de préférence dans les régions semi-arides, à partir de 400 mm de précipitations annuelles, mais pousse aussi dans les zones de mousson qui possèdent cependant une saison sèche bien marquée et assez longue. Le tamarinier ne pénètre pas dans la zone des forêts humides mais supporte l'air salin et le brouillard des régions côtières. On le retrouve aussi jusqu'au 5000 mètres d'altitude si la chaleur est suffisante. [...] La large distribution du tamarinier sur les sols très différents. dans les dépressions. les vallées, les abords de mares. Il préfère les sols graveleux ou sableux, profonds, lourds et perméables (bien drainés). Il ne pousse pas dans les marécages où l'eau est stagnante, ni sur les sols trop rocheux qui entravent la croissance racines. [...] Biologie-DescriptionLe tamarinier est l'un des plus beaux arbres de savane. Il peut atteindre 30 m hauteur et un mètre de diamètre. Remarquable par sa cime dense et étalée, son feuillage épais, sempervirent, masquant en grande partie un tronc assez court. le tamarinier est très apprécié pour son ombrage et ses fruits. C'est l'arbre villageois par excellence. Son écorce grise est crevassée longitudinalement et écailleuse. Les ramilles légèrement pubescentes. Les fleurs. de petites tailles, comportent 4 sépales jaunes et 3 pétales orangés. veinés de rouge.Elles sont disposées en grappes de 3 à 5 cm de long. Les feuilles sont pennées (20 à 30 folioles opposées arrondies aux deux bouts). Le fruit est une gousse de 12 cm de long. plus ou moins boussolée et légèrement arquée, contenant 1 à 10 graines brunes, luisantes, enveloppées dans une abondante pulpe acide. AlimentationLes feuilles. collectées de mai à juillet, et les fleurs. récoltées de décembre à mai, constituent un fourrage très recherché par les animaux. Feuilles et jeunes pousses sont consommées par les moutons. chèvres bovins. mais seraient toxiques pour le cheval.Les fleurs sont mangées en salades dans certains pays. Elles fournissent nectar de bonne qualité, un pollen abondant qui donne une bonne saveur au miel. Les feuilles sont consommées bouillies et sont utilisées souvent pour acidifier l'eau de cuisson. La pulpe de fruit, acidulée, a la réputation d'être un fortifiant. Vendue agglomérée en boule, elle est utilisée en infusion ou en macération pour la préparation d'une boisson rafraîchissante. Elle sert parfois à fabriquer une boisson alcoolisée PharmacopéeLe tamarinier a longtemps été vanté comme plante curative pour vertus astringentes, fortifiantes et laxatives. Les utilisations médicinales sont multiples : maladies de la peau, malaria et fièvres diverses, maladies du tube constipation, dysenterie, affections biliaires et hémorroides.Régénération naturelleCette régénération naturelle est facilitée les graines, apportées par les oiseaux ou les singes, tombent sous un gros baobab. Les plants profiteraient de l'enrichissement du sol par la litière et de l'eau de pluie qui ruisselle le long du tronc pour se développer plus rapidement qu'en terrain dénudé, étouffant ensuite leur protecteur, en le repoussant et le renversant. |
vieux tamarinier proche de st Paul ( source : http://fr.wikipedia.org) |
http://www.toildepices.com
http://www.baobabs.com
http://www.expertweb.fr
"Cet
arbre originaire de Madagascar et d'Afrique orientale se localise
à la
Réunion essentiellement dans l'ouest jusqu'à 500 m
d'altitude. Il est
trés souvent planté en bord de route. On le rencontre
également dans
les savanes ou il supporte trés bien la sécheresse. Le
tronc st court
et gris et le feuillage épais. Les feuilles sont
composées, et chaque
foliole à une longuer d'environ 12 cm. Les fleurs sont jaunes
avec des
stries rouges. Les fruits sont des gousses brunes, épaisses,
bosselées
et dures. Elles contiennent des graines enveloppées dans une
pulpe au
gout à la fois salé, sucré et acide, dont on tire
également du sirop .
Le tamarinier est aussi utilisé en médecine : pulpe pour
la fiévre et
le tube digestif, feuilles pillées pour les affections
biliaires,
cendres de coques de fruits contre la dysenterie, infusion de racines
pour les voies respiratoires.Cette
arbre peut vivre jusqu'à 150 ans. Cette espèce est
très répandue dans la Ravine à Malheur et peut
pousser dans un climat rude dans des conditions rudes de
sécheresse. Cette arbre ne peut vivre 286 ans (2007-1721), en
revanche les tamarins étant relativement haut (15-25m) et de
diamètre de tronc de 1mètre, il peut rester de nos jours
des traces d'un arbre lié au crpyptogramme donnant l'emplacement
du trésor. "
"
Au
cours de votre promenade vous croiserez divers arbres
fruitiers (tamariniers,
manguiers) dans un
paysage de savane sèche. Vous aurez sûrement
aussi la possibilité d'observer un tec-tec venu vous rendre
visite, et avec un peu de chance un
tangue ou un papangue. Le
départ se fait dans une petite venelle située à
quelques mètres du parking. Traversez la venelle, puis la
petite ravine, le sentier débuté au au fond de la
petite "placette" au coeur des
Tamariniers. Tout au long du parcours vous trouverez quantité
de Tamariniers (ne pas
confondre avec le tamarins des
Hauts). Ces derniers vous fourniront de petites
gousses dont les fruits gavés de vitamines redonnent du
tonus aux jambes fatiguées !! L'itinéraire longeant la
falaise n'est pas sans risques (petite chutes de pierres et autres)
mais il présente l'avantage de permettre d'approcher
de nombreux paille en queue. Du
côté de la Possession vous pourrez également
observer un papangue
nichant probablement dans les environs"
(source : http://www.rando-reunion.com)
Photo de
gauche : La plaine des Tamarins (source : http://20six.fr)
Photo au
centre : Le chemin Cremon. Au centre, un Tamarinier (Tamarindus Indica)
ou
Tamarens.
(source
: David Firon- http://site.voila.fr/libertalia)
Texte de droite : Source :
Notice
historique, géographique et religieuse sur l'île Bourbon
ou de la Réunion . 1863
(source : http://gallica.bnf.fr)
A l'occasion de l'hommage à La Buse du 7 Juillet 2007 à Saint Paul, le journal http://www.clicanoo.com publie un article présentant l'évènement.
Un passage intéressant sur les lieux probables où le trésor repose est le suivant "Certains cherchent encore le fabuleux trésor qu’il aurait caché dans une ravine près de Saint-Gilles entre deux pieds de tamarins, et à la profondeur de quinze pieds."
(source : http://www.clicanoo.com )
ou :
"Mais peut-être que fiction et vérité se mélange, car un plan de trésor fut découvert dans un livre ancien, sans rapport pourtant avec La Buse. Voici ce qu’il y est écrit : « Iles Mascareigna, 1701. Je soussigné capitaine de frégate ayant obtenu grand avantage sur mon ennemi après un combat naval des plus terribles, j’ai mis sous la garde de Dieu l’or et l’argent de Sa Majesté très Chrétienne, dans une ravine près de Saint Gilles, entre deux tamarins et à la profondeur de quinze pieds. » "
(source : http://www.iledelareunion.net)
Note : il est fort probable qu'il s'agisse d'un autre
trésor
puisque les faits semblent antérieurs à 1721.
Conclusion
: Lien très probable avec un ou deux (très vieux)
Tamarinier de
la Ravine à Malheur, piste non abouti.
Source :
Notice historique,
géographique et religieuse sur l'île Bourbon ou de la
Réunion . 1863
(source : http://gallica.bnf.fr)
Les premiers habitants non occidentaux sont surtout d'origine malgache. Certainement les premiers dans le processus d'évolution du « maloya ».
Maloya : terme d'origine récente (vers 1930). Appelé « Tchega » en 1750, puis « Tsiéga » et enfin « séga ». Mot portugais d'origine swahili ( désignant l'action de remonter ses habits, caractéristique des danses bantoues d'Afrique). Musique fusion qu'on retrouve dans tout l'Océan Indien : le séga ravane à Maurice, « séga tambour » à Rodrigues, « moutia » aux Seychelles.
Origine du maloya : fin du 17ème siècle. Produit pluriculturel et forme d'expression instrumentale, vocale et dansée. La création, le développement de ce style se sont faits dans les camps d'esclaves, par un mélange entre les populations malgaches et mozambicaines, nouvellement débarquées à la fin du 17ème siècle.
En malgache « maloya » = « j'en ai marre ». On peut faire le rapprochement avec le « blues » à ses débuts aux Etats-Unis : même style de « complainte ». Selon certains historiens : il faudrait remonter encore plus loin . Au début du 16ème siècle les malgaches auraient adapté à leurs goûts les chants païens des indiens qui venaient commercer leur sel et huile en échange d'or. Autre point commun : mélopée souvent improvisée et reprise en chœur par le reste de la troupe des musiciens indiens, dans les rues de SOURAT ou de GUJERAT. Cette forme de chant à plusieurs voix existait aussi en Afrique.
4.3 -Listes
des mots recherchés (recherche d'orthographe ancien
créole, français, etc..)
PIJON = pigeon en creole
JMEZ : prenez
TIRESKET : retirer ?
DOEURS : cœurs ?
QE : QUE ?
SEAJ : jeter à ?
CHERAL : ?
FUNEKORT: : ??
FILTTINSHIENTECU :
EFOVTRE : EF OUTRE : EN OUTRE
KEPATAIE :
PERTOTITOUSN :
OLVS : OLUS ?
LET : ?
TOIT : tu /toi
A NOITIE COUUE : (à
moitié)
coulé ?
ENPECGER UNE FEMME DHRENGT :
séduire
une femme de haut rang ?
VOUS NAVE QUA VOUS SERER LA
DOBAUCGEA :
vous n'avez qu'à serrer la ??
ET POUR VENGRAAI ET POR EPINGLE
OU EIUI
LE TURLOR : ?
NOUR LAIRE
PITER
UN CHIEN TURQ UN
LENEN DE
LA MER DE BIEN TECJE
ET
SUR RUN VOVL
EN QUIL NISE
IUDFKU
UNE FEMMR QI VEUT SE
FAIRE D'UN HMETSEDETEUDRE
DANS DU UI
O
OU QN DORMIR UN
HOMMR : ??
ESSCFVMM/PL
FAUT N RENDRE
UDL
QU
UN
DIFFUR
QECIEEFURTETLESL
: ??
Reine des Indes / Reine indienne
Swanage
Ville
d’Ostende
Nostra
Senhora de Cabo / la Vierge du Cap
/ Virgen
de Cabo
/ Le Victorieux
Nostra Senora della
Cabo/Nostra Senhora do Cabo/Nossa
Senhora do Cabo/Virgem
de Cabo
1721 John
Taylor/The
Cassandra & Olivier Lasouche/The Victory
Duchesse
de Noailles
Duchesse de
Noaelles
Princesse de
Noailles
Defense
/Cassandra
Coba
Olivier La
Bouche
OLIVIER
LEVASSEUR
Oliver le
Bouché
La Bous or
La Buse (The Buzzard)
Conclusion : Piste non abouti.
Après la transposition, la traduction littéraire semble une piste toujours très confuse de sens.
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